J'aime ta fraîcheur matinale
Là où je vis depuis peu
J'admire ta splendeur idéale
Ô ma déesse des cieux
Là où les hommes se battent
Tu leur dévoiles ta beauté
Malré leur sang écarlate
Verte tu demeures à jamais
Là où la vie est nature
Où la nature donne la vie
La mort te déchire et sature
Ton corps des poisons de chimie
Dans une banale glaxie en spirale
Toute de vide et de froid entourée
D'Ève et d'Adam la planète natale
Là où tu meurs, par tes hôtes blessée |